FATY
Je m’appelle Faty pour les malgaches je suis belle et dès fois moche.
Quand on me voit venir, on cri toujours.
On pleure de tristesse mais aussi des joies quelle que fois.
Quand je m’approche la foule les gens se taisent.
Peut être que je suis trop gracieuse majestueuse ou trop belle.
Sache que je suis le gouffre de néant de l’oublie.
Un gouffre de souffrance de malheurs.
Les malgaches semblent m’aimer pourtant.
Car quand je viens chez une famille ils font la fête, tue des zébus rien que pour moi.
Je voyage beaucoup, je ne suis pas qu’ici.
Le monde m’appartient.
Je suis nulle part et partout.
Je viens chez une personne sans être appelée c’est une obligeance de m’accepter quand je viens.
Souvent on se bat pour que je ne me présente pas, les mortels font de tous leurs moyens pour me fuir.
Mais c’est lorsque c’est comme ça que j’aime le plus venir, qu’on ne m’attend pas.
J’aime offrir aux gens les surprises « moi-même ».
Oh ! Pauvres humains, pauvres mortelles.
Vous pouvez faire mieux mais le mieux est toujours l’ennemie du bien.
Vous faisiez la guerre, et je viens sur plusieurs personnes alors que des fois je n’ai pas envie.
Mais c’est vous qui m’oblige !
Vous fabriquez des bombes, des armes, vous vous fraisez du mal.
Sache que vous pouvez faire mieux les mortels.
Je suis Faty et Fiainana fait partie de moi si elle est là, je serais.
Lorsqu’elle me manque, il faut je l’amène avec moi.
Je l’aime et elle m’aime.
Nous sommes le Ying et le Yang.
Dans le Ying, il y a le Yang et dans le Yang il y a le Ying.
La vie il y a la mort, dans la mort il y a la vie.
c’est très courageu de ta part k d parler d la mort j’admire
Tiako be ity article ity.
Tres poetic 🙂